Surfer’s Journal 104

Le numéro d'octobre-novembre est depuis quelques jours en kiosque. De beaux récits à découvrir. Sommaire.

13/10/2014 par Jeanne Dauthy

Avec en couverture une belle vague du Victoria (Australie), le Surfer’s journal 104 vous propose en lecture :

– Tom Morey, l’extase de l’invention. Le septuagénaire, inventeur du Morey Boogie, conserve toute sa verve. Il revient sur quelques moments clefs de l’histoire du shape des surfboards, et avance le concept d’une planche à écailles… comme les poissons. Intéressant.

– Les Açores, des vagues surprises qui se méritent et qui se savourent avec les quelques locaux.

– Bali à l’heure des Russes. Reportage sur une nouvelle facette de Bali, avec une jeunesse russe dorée, excessive, qui découvre le surf et la liberté en étant en villégiature à Bali. Un épiphénomène du surf mondialisé.

– Nathan Fletcher et Kohl Kristensen racontent leur session épique, au Chili lors d’un très gros swell, en mode guerrilleros (des vagues) sur un spot inusurfé et où Nathan Fletcher a vécu la pire bouffe de sa vie. Prenant.

– La belle histoire d’un duo surfeur, mère fils, avec Janet et Sean MacPherson. Elle l’a élevé dans les vagues. Il a fait fortune dans les hôtels de luxe à New-York. Il partage toujours leur session, à Malibu comme à Baja.

– Portfolio de Jack Belli. Le talentueux photographe donne un nouvel angle ample à la photo de longboard. Stylé.

– Captain Goodovibes. Le dessinateur australien Tony Edwards raconte l’histoire de son personnage cocasse, le surfeur cochon, qui fit la BD phare du magazine Tracks jusqu’au début des années 1980. Humour et audace.

– Le mascaret de la Petitcodiac River au Canada. L’histoire du retour d’un mascaret légendaire, suite à à dix ans de combat acharné de quelques écologistes, et première session de surf racontée et photographiée par Yassine Ouhilal et aussi par Antony Colas qui était de la partie.

– Miami et son spot de South Beach. Au pied de la ville bling bling, surfers latinos et américains se partagent des vagues pourries mais se calent des tubes d’enfer quand le bon swell est là. Contrasté.

– Mikala Jones, l’infatigable voyageur. L’Hawaïen gagne sa vie en surfant et en découvrant des spots depuis son adolescence et trentenaire et père de famille il se voit continuer de la sorte, même si …

– Et aussi, présentation du dernier livre de John Severson, court interview avec Eneko Acero, les innovations qui font bouger le surf, Bali à l’heure des déchets…

De quoi apprécier le surf et sa culture vivante. A vous de savourer.

Merci de votre fidélité.


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