[DOSSIER] le système ASP décrypté

Tout comprendre sur le système ASP : les différents circuits, les points, les qualifications...

14/11/2013 par Surf Session

La surprise de Jeremy Flores lors de son récent sacre de Champion d’Europe ASP 2013 durant le Prime de Cascais en dit long sur la confusion qui règne quand on se risque à soulever le capot de cette étrange machine qu’est l’Association des Professionnels du Surf, l’ASP.

Un appareil complexe, résolument tourné vers les privilèges des meilleurs, ne laissant que trop peu d’ouverture aux nombreux et talentueux postulants à l’Élite du WCT, assis sur un système oligarchique que l’on pourrait résumer par « une fois qu’on y est, on y reste ».

Afin de décrypter le système et tâcher de naviguer avec un peu plus de connaissance dans les méandres confus des circuits de surf professionnel, il est important de clarifier certaines notions :

Seeding : le seeding est le placement d’un surfeur dans un tableau de séries au regard de sa position au classement général avant la compétition. Le seeding permet d‘harmoniser le niveau des séries en panachant les seedings des surfeurs, afin de ne pas se retrouver dès les premiers tours avec d’excellents surfeurs dans la même série, et d’autres au seeding plus bas dans une autre série. Généralement, plus le surfeur bénéficiera d’un bon seeding, plus il commencera tard dans la compétition, laissant les surfeurs moins bien “seedés » se fatiguer à s’affronter dans les premiers tours, et arrivant “frais” au deuxième, troisième, voire quatrième tour. Durant les séries, le surfeur au meilleur seeding revêt généralement le lycra de couleur rouge.

Bubble : ou “bulle” de qualification/d’élimination. On dit qu’un surfeur du WCT est sur la “bubble” quand il est classé entre 21ème et 23ème sur le WCT (la fourchette est parfois un peu plus large selon les écarts de points) et n’est donc pas assuré de son maintien ou de sa chute du WCT pour la saison suivante. À l’issue de la saison WCT, les 22 meilleurs surfeurs sont maintenus, les 12 derniers doivent se qualifier à nouveau en comptant sur leur classement au World Ranking. Il est donc vital pour un surfeur du WCT de s’écarter autant que faire se peut de cette bubble avant la fin de saison pour ne pas se faire pousser de la falaise par une dernière performance surprise d’un des surfeurs classé entre 23 et 34 sur le WCT.

Cut : alors que pour les surfeurs du WCT, tout est question de position dans le classement (Top 22), pour le reste des surfeurs du World Ranking, le “cut” correspond à la limite de points minimum à avoir en poche pour « faire le cut” et se qualifier pour le WCT de la saison suivante. Pour 2013, le “cut” se situe aux alentours des 16 500 points sur le World Ranking pour être assuré d’une place dans le Top 10. Si un surfeur est en lice pour la qualification pour le WCT sans pour autant atteindre ce “cut”, il lui faut alors attendre et espérer que personne ne lui passe devant lors des dernières épreuves hawaïennes où il se doit de bien faire pour améliorer son propre total et limiter ainsi la désagréable surprise de finir sur le pas de porte.

Wildcards : il existe plusieurs types de wildcards que nous détaillerons dans cet article, mais une “wildcard” est une invitation “joker”, à savoir qu’elle permet à un surfeur de participer à une compétition, un circuit auquel il ne devrait logiquement pas participer/être qualifié/commencer si loin dans les tours.

Les wildcards des épreuves sur le WCT ne prennent généralement pas de points, mais uniquement le prize money; cependant les “replacement seeds” (remplaçants, généralement les quelques premiers non qualifiés à l’issue de la saison précédente) bénéficient d’un statut particulier car appelés à remplacer les pensionnaires du WCT absents et peuvent ainsi gagner argent et points, rendant possible -bien qu’inouïe- une qualification d’un non pensionnaire du WCT via le WCT si ce dernier peut surfer correctement suffisamment d’étapes dans l’année (il prie alors pour de nombreuses blessures des surfeurs du CT), engrangeant alors suffisamment de points pour figurer dans le Top 22 à l’issue de la saison.

Les remplaçants cette saison sont Patrick Gudauskas (27ème en 7 étapes surfées ), Willian Cardoso (35ème en 3 étapes surfées), Yadin Nicol (32ème en 7 étapes surfées) et Heitor Alves (38ème pour seulement 1 étape surfée)

WCT, PRIME, STAR EVENTS : LES DIFFÉRENTES DIVISIONS DE L’ASP

Le World Championship Tour, ou WCT, ou CT :

32 surfeurs, non 34, non en fait 36 mais y’a des wildcards et des remplaçants…

Au total 36 surfeurs. À l’ouverture de chaque saison, 32 surfeurs sont invités en tant que membres permanents pour l’ensemble des épreuves du WCT à venir avant l’épreuve finale de Pipeline, Hawaii. Le Commissioner’s Office (Kieren Perrow et le comité technique) y ajoute 2 wildcards pour la saison : la première sera attribuée pour raison médicale étant survenue durant la saison précédente, c’est la injury wildcard ou invitation pour blessure. La seconde est attribuée par ce même comité, c’est l’ASP Wildcard, originellement créée dans le cas où un Champion du Monde récent (exemple Kelly, Andy -à l’époque-, Mick, Parko) décidait de prendre une année sabbatique pour souffler, pourrait revenir en demandant cette ASP Wildcard au regard de son palmarès.

Dans la mesure où aucune pareille demande n’a été faite récemment, mais que cette wildcard existe toujours, les surfeurs du WCT en mal de re-qualification peuvent y postuler. Pour ces deux ASP Wildcards, il convient pour les surfeurs d’adresser un dossier le plus complet possible (bilan médical, de carrière, financier…) au Commissioner’s Office qui prendra la décision et en informera les intéressés avant la fin d’année civile. Aux dernières nouvelles, ont postulé pour ces deux ASP Wildcards pour 2014 : Owen Wright, Glen Hall, Tiago Pires, Raoni Monteiro, Dusty Payne.

Le format d’un WCT étant de 12 séries de 3 surfeurs au premier Tour, 2 dernières wildcards sont données à l’organisateur/sponsor de l’étape du WCT (Event Wildcards), qui peut soit organiser des trials et donner la wildcard au vainqueur (PV Laborde à Peniche), soit à un surfeur local (Patrick Gudauskas dans le passé à Trestles), un Team Rider (Dane Reynolds sur les épreuves Quik, le jeune Jack Robinson à Bali), ou une légende ayant une certaine affinité avec le spot (Occy à J-Bay).

La grande différence est que les wildcards ASP sont valables pour la saison, et autorisent prize money, points de qualification World Ranking et WCT, alors que les Event wildcards n’offrent que le cash, l’expérience et la gloire ou l’humiliation potentielles.

À la fin de la saison, l’ASP additionne tous les résultats des épreuves WCT pour chaque surfeur, en retire les 2 plus mauvais, et couronne l‘unique Champion du Monde de Surf Professionnel.

Le WCT, son classement et ses points n’importent que pour la course au titre de Champion du Monde. Avant la création des PRIME et du World Ranking, il y avait un classement WCT et un classement WQS qui décernaient un titre de Champion par catégorie. Désormais un seul Champion, plusieurs circuits.

Le World Ranking: une course aux points sur les 6 meilleurs résultats de la saison

L’intérêt de ce classement est double : pour les meilleurs, une course à la qualification sur le WCT de la saison suivante en atteignant le TOP 10 (hors surfeurs du WCT déjà qualifiés via leur position dans le classement WCT) et pour les aspirants : améliorer leur classement durant la saison grâce à de bons résultats sur les STAR EVENTS et ce faisant intégrer le TOP 100 de ce classement World Ranking, leur ouvrant ainsi les portes des PRIME EVENTS et offrant bien plus de points. Plus haut sera le classement du surfeur en fin de saison, meilleur sera son seeding pour la saison prochaine et plus tard il commencera dans les tours des prochains Star Events, limitant ainsi le risque de se faire éliminer prématurément et s’assurant un minimum de points et d’argent potentiel à chaque étape, pour peu à peu gravir les échelons le séparant du TOP 10 qualificatif pour le WCT.

Pour les surfeurs du WCT, leur classement World Ranking tiendra compte de leurs 6 meilleurs résultats, toutes ligues confondues (WCT, PRIME et STARS). Seuls leurs 2 meilleurs résultats sur le circuit WCT peuvent être pris en compte dans le classement World Ranking, sauf si ce sont des 13èmes ou 25èmes places.

Pour le reste des surfeurs, leur classement tiendra compte de leur 6 meilleurs résultats, sur les circuits PRIME et STARS.

La véritable hypocrisie du système est que pour les surfeurs du WCT, même avec “seulement » leurs deux meilleurs résultats du WCT comptant pour leur classement World Ranking, la différence de points reste insurmontable (une victoire et une seconde place sur un WCT rapportent 2 à 3 fois plus de points qu’une victoire sur un PRIME). Les premiers surfeurs qualifiables du World Ranking sont donc loin, très loin du réel TOP 10 (le premier Jadson André aujourd’hui 16ème, Mitch Crews 20ème… Marc Lacomare 31ème) et ce malgré de belles finales sur les PRIME. Le système est donc bel et bien tendancieux, assurant un accès au WCT des plus abstrus (seulement 4 nouvelles têtes la saison passée) et au contraire un maintien dans le WCT quasi assuré pour qui passe dans la saison au moins 2 tours sur le WCT à deux reprises (c’est le cas de Brett Simpson, actuellement premier re-qualifié avec deux 9èmes places et le reste en dernier ou avant-dernier…)

Les PRIME Events : à l’origine « Super Series » ou « 6 Star Prime »

Nombre de surfeurs limité, maximum de points et de cash sur une épreuve autre qu’un WCT. Le circuit Prime (8 étapes en 2013) est la catégorie intermédiaire entre la Ligue 1 (le WCT) et le reste du monde (Star events), notons au passage que le surf est très certainement l’un des seuls sports professionnels à utiliser la transversalité descendante : N’importe quel surfeur du WCT peut venir récolter points, dollars et gloire sur les ligues inférieures à son niveau, et ce faisant tenter même de sauver sa propre place dans l’Élite en concourant des épreuves inférieures à sa caste. Le système des Prime est encore plus cynique, car il est ouvert prioritairement aux surfeurs de l’Élite avant ceux même ceux qui veulent s’y qualifier. Le format y est limité à 96 surfeurs, invités dans l’ordre suivant :

– surfeurs membres de l’actuel WCT

– membres du WCT de la saison passée qui n’ont pas réussi à se re-qualifier

– les 4 premiers des World Junior Championships de la saison passée (1er, 2nd et les deux demi-finalistes)

– les wildcards de l’épreuve (généralement 2)

– …et enfin le reste des surfeurs du monde, les mieux classés en premier, généralement dans le TOP 130 du World Ranking. (donc moins il y aura de surfeurs du WCT présents, plus il y aura de place pour les surfeurs classés le plus bas sur le World Ranking)

Le format des épreuves PRIME est toujours le même :

L’avantage du format des PRIME est qu’une fois les 96 surfeurs placés dans le tableau selon leur seeding, tout le monde part du même Tour, et que le money round (tour à partir duquel le surfeur commence à gagner du prize money) est dès le début de l’épreuve. Les surfeurs ont donc la chance -ou pas- de surfer contre les stars du WCT et sont assurés de revenir à la maison avec un minimum de gains, avant taxes.

La seule problématique est que les PRIME sont généralement pris d’assaut par les surfeurs du WCT, soit par obligation statutaire (sachant qu’ils sont tenus de surfer au moins une épreuve PRIME par saison dans leur région ASP d’origine), soit pour tenter de se re-qualifier, soit pour rester actif entre deux étapes du WCT (les PRIME sont les seules épreuves ASP à être placées par obligation sur des dates différentes des épreuves WCT pour éviter tout problème de planning pour les surfeurs de l’Élite). Ainsi, sur 8 étapes PRIME cette saison, 6 ont déjà été courues, et 4 comptaient en finale un ou deux surfeurs du WCT, s’emparant des précieux points de finalistes et reléguant ainsi les aspirants du World Ranking à des gains de points bien moindres

Quoi qu’il en soit l’intérêt principal des PRIME reste bien entendu les points, largement supérieurs à ceux disponibles sur les Star events.

Les STAR EVENTS, anciennement WQS :

C’est la ligue de base du circuit professionnel. Peu de points, peu de prize money, et pas de limite quant au nombre de participants (bien que les surfeurs avec le meilleur seeding – ainsi que le Top 8 des précédents World Junior Championships – commencent plus tard dans la compétition), donc des formats à parfois 188 surfeurs (!), avec un money round qui arrive parfois uniquement en quarts de finale… C’est l’école du circuit, avec malheureusement de moins en moins d’épreuves en dessous de 4 étoiles (seulement 7 au monde pour 2013), les organisateurs comme les meilleurs surfeurs n’y voyant que trop peu d’intérêt en matière de média, points et prize money. Le circuit STAR EVENTS se concentre donc plus sur les épreuves 4 à 6 étoiles, l’attrait principal étant les points récupérés à partir des phases finales, le reste des tours précédents n’offrant que top peu de points pour le classement final global du World Ranking.

Les STAR EVENTS sont déterminants un compétiteur débutant est d’en faire le maximum durant la saison, gagnant ainsi expérience et progressivement plus de points, construisant ainsi un meilleur classement au World Ranking, qui lui permettra de commencer de plus en plus tard dans les Tours et enfin atteindre un seeding qui lui ouvrira finalement les portes du Top 100 et des PRIME. En fin de saison, le cut pour ce top 100 se situe autour des 4.000 points.

Des titres régionaux sans saveur

L’ASP compte 7 “régions” (Australasie, Europe, Amérique du Nord, Hawaii, Amérique du Sud, Afrique et Japon), qui couronnent chaque saison leur champion sur le même modèle : le et la meilleur(e) surfeur(euse) aux points à l’issue du circuit de WQS accueillis par sa région.

Alors qu’en est-il du titre de Champion d’Europe ASP 2013 de Jeremy Flores ? Amputée de nombre de ses compétitions historiques, la saison européenne masculine n’aura connu que 4 épreuves cette saison : deux Star Events (Lacanau 5* et Pantin 3*) et deux PRIMES (Açores et Cascais). Le titre de Champion d’Europe, historiquement décerné à l’issue d’un long circuit d’étapes jadis appelé tour EPSA, comptant à l’époque une majorité de surfeurs européens, s’est progressivement ouvert aux surfeurs internationaux en devenant WQS (World Qualifying Series, circuit de qualification mondiale), noyant par là-même dès le premier tour nos surfeurs “locaux » (Européens) dans des séries contre parfois 3 internationaux.

La “course” au titre a donc perdu de son piquant, le titre étant attribué à l’obscur meilleur total de points et non aux victoires, en gardant en tête que les coefficients de points sont conservés selon les étapes (une victoire au 3* de Pantin rapporte presque autant de points qu’une défaite dès le second tour sur un Prime…), et que la grande majorité des surfeurs Européens ne peuvent accéder aux PRIMES car non classés dans le Top 100 (seulement 19 Européens sur le Prime de Cascais).

Jeremy Flores remporte donc le titre avec seulement deux compétitions : une défaite dès le second tour au Prime des Açores, et une excellente demie finale au Prime de Cascais. Un surfeur tel que Steven Pierson, vainqueur de l’épreuve de Pantin, quart de finaliste à Lacanau et perdant de façon précoce sur les deux Prime se retrouve poussé quant à lui au rang de…7 ème au classement final ASP Europe.

Le titre européen n’est donc pas forcément décerné à celui qui été le plus régulier sur sa saison européenne contre le plus de surfeurs européens, mais à celui qui a fait le mieux sur les épreuves auxquelles il peut participer contre les meilleurs internationaux, ce qui ne sonne pas véritablement juste.

… et pour les filles, comment ça marche ?

Titre de Championne d’Europe difficilement discutable sur les deux seules épreuves (toutes deux des 6*) de la saison pour Johanne Defay, qui aura atteint finale à l‘Hossegor Swatch Pro et quarts de finale au Pantin Classic.

Pour ce qui est du système de qualification pour le WWCT (WCT féminin), il a su rester un peu plus basique : deux circuits, l’un qualifiant (Star events / World Ranking) pour l’autre (WWCT), un seul titre de Championne du Monde de Surf Professionnel, mais pas de PRIME.

16 surfeuses sont sur le WWCT, le Top 10 WWCT à la fin de chaque saison est qualifié d’office, le Top 6 des surfeuse du World Ranking (moins les double-qualifiées par le WWCT, cut à 5.200pts) se qualifie pour la saison suivante. À cela l’ASP attribue 1 wildcard (pas de blessure cette année donc la wildcard a été attribuée à Alana Blanchard car 10ème ex-aequo avec Laura Enever, mais qui bénéficiait d’un meilleur seeding en début de saison 2013), enfin une dernière wildcard est confiée à l’organisateur de chaque étape pour compléter le tableau à 18 (6 séries de 3 surfeuses au Tour 1).

Voilà, j’espère avoir éclairci quelques incertitudes et/ou incompréhensions.

Julien “Vico” HAMEL


Tags:



11 commentaires

  • bp
    15 novembre 2013 17h48

    Exercice périlleux pour l’auteur, article bien utile au lecteur : bravo à Vico qui ne s’y est pas cassé les dents 😉

    Répondre

  • Martin
    15 novembre 2013 16h32

    Merci, merci! pour cette article qui explique clairement comment fonctionne l’asp. Depuis la fin du top 45 je comprenais plus rien…

    Répondre

  • bunel jonathan
    15 novembre 2013 12h01

    Merci Vico pour cet article qui rend compréhensible des règles bien compliquées…

    Répondre

  • ribiere
    14 novembre 2013 21h35

    c’est long maps c’est bon ! Bravo pour cet article et surtout pour la prise de position

    Répondre

  • Charles Viguier
    14 novembre 2013 20h49

    Bravo Session d’avoir laissé une personne avec autant de vécu expliquer ce joyeux bordel avec la prose qui caractérise Julien Vico Hamel. Je ne suis vraiment pas fan de beaucoup de choses en matière de surf francophone, trop souvent superficiel ou chauvin, mais je dois dire que Vico est pour moi l’un des, si ce n’est le meilleur spécialiste du surf au niveau français. Il est partout, au micro comme derrière les juges ou les surfeurs et il a prouvé à nouveau avec cet EXCELLENT dossier qu’un surfeur pouvait avoir une solide tête sur les épaules. Ce n’est pas souvent que je prends autant de plaisir à lire un article si bien composé, et encore moins que cela me renvoie à mon dictionnaire. Un grand bravo à votre journaliste, qui relève un niveau bien morne dans le surf français. A quand un nouveau dossier ??

    Répondre

  • Kev40
    14 novembre 2013 20h04

    wow, vous m’avez calmer là SurfSession. Super bon dossier, ça fait plaiz d’avoir un peu de contenu autre que les clips qu’on peut trouver sur les autre sites. Bravo à Vico, même si y a des mots compliqués et c’est un peu long ça serait pas aussi bien si c’était plus court. C’est bien l’une des première fois que je dirais que je me couche moins bête après avoir lu un article sur le surf ! C’est engagé, pédagogue, clair: nickel.

    Répondre

  • Greg
    14 novembre 2013 18h25

    Pour résumé, c’est assez compliqué. Je pense qu’ il faut revenir sur des compétitions plus simples. La solution je ne l’ ai pas encore mais cela ne saurait tarder!!!

    Répondre

  • coffi
    14 novembre 2013 16h49

    parce que beaucoup de blessés à ce moment là sur le wct

    Répondre

  • john
    14 novembre 2013 14h55

    pourquoi autant de wildcard sur le quik pro france ?

    dane, lacomare, fioravanti, aritz, ramzi …

    toutes attribuées par quik ?

    Répondre

  • Malvaux
    14 novembre 2013 14h36

    Tres bon article , merci Vico

    Répondre

  • Anonio
    14 novembre 2013 13h36

    Très bon article. A la fois explicatif et engagé.

    Répondre

  • Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    *
    *
    *