Nixon Surf Challenge Chine : photos et récit

Des petites vagues, beaucoup de soleil et un folklore tout particulier. Retour sur quatre jours de challenge sur l'ile d'Hainan.

01/06/2015 par Robin Guyonnet

Les neuf surfeurs invités (Benjamin Sanchis, William Aliotti, Vincent Duvignac, Eric Rebière, Jonathan Gonzales, Marlon Lipke, Kepa Acero et Gaspard Larsonneur) ont pu goûter à la chaleur d’Haïnan. Le climat sur l’île est aux antipodes du froid sibérien, chaud et lourd.

Mais l’atmosphère qui règne sur cette île est tout aussi opposée au vide et au silence sibérien. Haïnan se développe très vite, avec des constructions géantes dans tous les sens et des touristes chinois au style très particulier… Un lieu folklorique qui mélange tradition et société de consommation à l’américaine, sorte de Miami en version chinoise.

Niveau vagues, si les challengers n’ont peut-être pas eu le swell de l’année, tout laisse présager d’un excellent potentiel. Les reef-breaks et beachbreaks de l’île sont orientés dans des directions différentes, ce qui permet de toujours trouver un endroit où ça marche. Durant les premiers jours, les neuf surfeurs européens ont pu surfer le beachbreak ultra-touristique de la ville principale (Sanya), avant d’aller s’amuser sur un reef-break bien creux.

Les deux derniers jours se sont bien déroulés malgré un swell un peu poussif. Les surfeurs ont quitté la ville principale pour mettre le cap sur une station balnéaire sur-dimensionnée et déserte. Une véritable ville fantôme avec d’énormes bâtiments luxueux, une marina, un yacht-club et des hôtels cinq étoiles… mais vides. D’après les locaux, c’est durant la haute saison touristique – de décembre à février – que cette ville se remplit de riches touristes chinois en quête de chaleur. Aux abords de cette ville de démesure, les riders ont pu scorer un petit beachbreak et un autre spot, le long d’une digue.

Retrouvez bientôt plus d’infos avec la vidéo du contest.


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2 commentaires

  • marc
    8 juin 2015 14h41

    Quand tu penses au pognon que Nixon dépense pour des projets aussi débiles ,franchement Nixon devrait mieux être manager ,ça fait mal de voir une telle médiocrité ,mais que voulez vous c’est la France ,la vieille Europe sans de grandes ambitions .Juste pour dire que Nixon n’est pas le seul sponsor à être mal entouré au grand désaroie des observateurs.

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  • jean pierre
    7 juin 2015 20h28

    ouai en faite, trip fiasco !!!

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