10 trucs étonnants que vous avez peut-être ratés à J-Bay

La compétition la plus spectaculaire de l'année regorge d'anecdotes. Petit tour d'horizon.

22/07/2017 par Olivier Servaire

Les vagues
étaient folles, Toledo en feu… on vous a déjà tout raconté sur cette compétition
à J-Bay. Mais voilà 10 anecdotes que vous avez peut-être ratées si vous n’avez
pas passé vos journées le nez collé sur le webcast.

1/ Slater se fait casser
Quand Kelly raconte ses sensations à J-Bay, un ex-pro floridien, Sean Volland, l’attaque et critique ses boards sur Instagram, en disant de manière assez grossière qu’il ne gagnera plus jamais de compétition. Kelly lui répond simplement « Tu es un blaireau, tu as gaché ta vie et ton talent. ». Les échanges d’amabilité continuent jusqu’à la blessure de Slater. Mauvais karma….

2/ Fanning attaqué par un… chien 
Sans doute en manque de sensation avant de recroiser ses amis à peux grises,
Fanning est allé à la rencontre de la faune avec l’association Wild Ark. Il a
fait connaissance avec leur
chien chien anti-braconnier en acceptant de jouer le rôle
de la victime de chien d’attaque. Mais pourquoi Mick ?

3/ Il n’y avait pas qu’un requin
Sans attendre la finale comme en 2014, les requins ont fait une entrée progressive dans ce Corona Open. Les 2 premiers jours ce ne sont que des rumeurs, on aperçoit des ombres au line-up mais on ne sait pas si ce sont des requins ou des dauphins. Au 4eme tour plus de doute, c’est bien un requin qui fait surface, un petit Mako en l’occurrence. En quarts ça ne rigole plus, c’est un grand blanc aussi long qu’un jet-ski avec sa remorque qui débarque au line-up. Il était temps que ça s’arrête…

4/ Le bateau ivre
Comme son nom l’indique le « water safety boat » est là pour assurer la sécurité de tous au line-up, mais quand il se fait prendre à l’inside sur une série qui décale, c’est lui qui devient un véritable danger public. Heureusement son pilote est un as, et a surfé un mur de 3m comme s’il faisait ça tous les jours.


5/ Le double re-surf
Sa série du 4ème tour arrêtée pour cause de requin mardi, Jordy Smith doit resurfer cette série le lendemain. Il termine second puis bat Conner Coffin au round 5… Mais les juges se rendent compte qu’ils ont raté le début d’une vague de Conner, et les deux doivent repartir à l’eau pour tout recommencer.

6/ Des planches à la dérive
En marge de la compétition une super série invitait Jordy
Smith, Matt Wilkinson, Conner Coffin et Sebastian Zietz
à surfer J-Bay avec des
planches rétro à deux dérives. Inspirés des fishs de Steve Lis ces planches se
sont montré super adaptées à ce long mur, et Jordy s’est montré le meilleur
dans cet exercice de voyage dans le temps. 
Josh Kerr a sans doute fait encore mieux avec sa session sur une planche en
mousse sans dérive. Il a bluffé tous les observateurs avec ses gros carves
slidés et ses 360.

 

7/ Le footing de Fletch
Mais si vous savez, Fletch, ce nounours qui œuvre comme team manager Rip Curl. Avec un physique à mi-chemin entre le Zach Galifianakis de Very Bad Trip et
Hagrid dans Harry Potter, Ryan Fletcher n’a pas vraiment un physique de coureur
de fond. Il a pourtant remonté tout le line-up de J-Bay en courant avec la
planche de Fanning sous le bras (après être parti dans le mauvais sens). Bon
joueur il hurlait à la foule : « This is why we train! » (c’est
pour ça qu’on
s’entraîne !)


8/ Le bodyboarder braqueur
La vague de J-Bay est tellement longue qu’elle déroule sur plusieurs sections qui connectent rarement. Du coup on n’est pas surpris de voir quelques free-surfeurs à l’inside, prenant les vagues qui sortent de la vague de compétition. Kolohe Andino par contre a été bien surpris de voir un bodyboarder lui faire effondrer toute une section de tube. Cela lui a peut-être coûté son élimination face à Jadson Andre, mais pas de re-surf cette fois là.

9/ Prise de vue et prise de risque
Fin de la finale, Toledo sort de l’eau porté par ses potes brésiliens. Les
photographes accourent, mais quand Kelly Cestari se prend les pieds dans le « tapis »,
il entraîne dans sa chute 2 autres photographes et tout leur matériel. Dur la vie
de reporteur sur la WSL !

10/ Les nouveaux « claims »
N’en déplaise aux amateurs de sobriété dans le surf, les pros n’en finissent
pas de trouver de nouvelle façon de célébrer leurs vagues. Cette édition a été
marquée par la « ballerine » de
Leo Fioravanti, le claque-cuisse de
Slater, le cœur battant de Jadson Andre, le décompte de Toledo, la pincée de
sel d’
Italo Ferreira, et même Fanning qui demande un 7 aux juges (pas dans la vidéo) !



2 commentaires

  • kelly's son
    24 juillet 2017 21h49

    pas critiqué daddy kelly sinon tu gagnerais pas le meme argent
    kelly parrain du surf biz ,,fais gaff il va t envoyé des requins gorilles

    Répondre

  • Solure
    24 juillet 2017 11h28

    Excellent !

    Répondre

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