Kyllian Guérin // Beng Beng

Dernier clip du jeune Landais de 13 ans à la progression fulgurante sur certains des plus beaux spots de la planète.

01/03/2017 par Romain Ferrand

D’un clip à l’autre, la progression de Kyllian Guérin ne fait aucun doute. Du haut de ses 13 ans, le jeune Landais a déjà plus de tampons sur son passeport que la plupart des surfeurs qu’il croise au line-up. Ces derniers mois, sa vie de jeune surfeur pro l’a conduit des Caraïbes à Hawaii en passant par l‘Indonésie, le Maroc ou encore les Maldives, avec entre chaque trip de quoi scorer à la maison.

Un profil très prometteur qui semble avoir tout ce qu’il faut à sa portée pour atteindre le plus haut niveau.

Les mots de Kyllian : »Dans cet édit «  Beng beng » je vous embarque avec moi tout au long de ma 13 ème année. Une année folle, remplie de voyages à travers le monde, de rencontres avec les gens et de belles vagues à surfer autours du Globe.

Des vagues secrètes à explorer dans les Caraïbes avec mon sponsor Rip Curl à l’occasion de mon premier Search ou la folle droite de Nias en Indonésie au nord de Sumatra furent des expériences incroyables. Ensuite il y a Hawaii bien sûr, avec le fameux spot de Pipeline- Backdoor, un endroit fascinant et dangereux qui est pour moi un passage obligé et désormais régulier… Mais aussi le Maroc du sud que j ai découvert, les Maldives et bien entendu la  France à la maison sur Hossegor, avec des sessions magiques tout au long de l’automne.

Pourquoi Beng Beng ? En fait, même si je grandis vite, que cela devient de plus en plus sérieux et qu’il faut aujourd’hui être au top de la forme pour être prêt a affronter ces vagues et progresser, que je suis totalement conscient de l’importance de la préparation tant physique que mentale et que je suis engagé dans ce processus de sportif de haut niveau depuis déjà quelques temps, j’ai un pêché mignon : le chocolat !!! Fan de ces barres chocolatées, je profite encore de mon enfance sans trop de restrictions. Alors cette treizième année, riche en émotions et en découvertes, a aussi été pour moi particulièrement riche en chocolat… D’ou ce clin d’œil à Beng Beng, car c’est vraiment moi…« 


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