Du surf au cinéma

Le surf mène à tout. Même au cinéma… C’est parce qu’il est passionné par la vague que John Stockwell, réalisateur et surfeur, ne pouvait envisager son dernier film en dehors du milieu océanique. Après « Blue Crush » et « Bleu d’enfer », le cinéaste pose ses caméras en Afrique du Sud, au large de […]

05/10/2011 par Romain Ferrand

Le surf mène à tout. Même au cinéma…

C’est parce qu’il est passionné par la vague que John Stockwell, réalisateur et surfeur, ne pouvait envisager son dernier film en dehors du milieu océanique. Après « Blue Crush » et « Bleu d’enfer », le cinéaste pose ses caméras en Afrique du Sud, au large de Gaansbaii, un village de pêcheurs réputé pour être infesté de requins.

Sa connaissance du milieu aquatique le pousse à réaliser un film sur les requins sans trucage ni effets spéciaux. « Dark Tide » raconte l’histoire de Kate, traumatisée par la mort tragique de son professeur de plongée, tué par un requin. Devenue guide touristique, la jeune femme va surmonter ses peurs et plonger à nouveau dans l’océan grâce au soutien de son ex-mari.

Le réalisateur a choisi Halle Berry et Olivier Martinez pour incarner les rôles principaux. Plongés dans les conditions du réel, les comédiens ont tourné au milieu des requins, sans gilet de protection. Lors des scènes les plus dangereuses, l’actrice était doublée par le plongeur professionnel Michael Rutzen qui avait déjà collaboré avec Jacques Perrin dans le film « Océans ». Ce dernier est le seul plongeur à s’approcher aussi près des requins.

Au total, ce sont 40 minutes de profondeurs marines qui sont explorées dans « Dark Tide », à la manière d’un docu-fiction. Filmé avec des caméras à la pointe de la technologie sous-marine, « Dark Tide » est le premier film de fiction à retranscrire l’univers aquatique dans toute son authenticité.



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