Le longboard y est une arme de choix car l'exposition à la houle est bien moindre que dans le Sud du pays. Mais quand on maitrise les pas croisés, on se retrouve vite juché sur le nose pour un ride qui peut durer plusieurs centaines de mètres. Il y a pire comme destin de surfeur...






Mots clés : longbaord, mexique, nayarit, miguel sinclair, jonathan melendres