Des usines, une eau sombre, beaucoup de vent…et quelques belles surprises ! « Grandir ici, ce n’est pas grandir sur la Gold Coast. En été, il n’y a pas de vague et même en hiver cela peut être flat. On ne va pas surfer à chaque fois qu’on a envie ! »
Dans le nord du Royaume-Uni, Sandy Kerr (qui n’est pas le fils caché de Josh) surfe son home spot comme personne. Malgré un ciel bas, des usines désafectées, une eau sombre et beaucoup de vent, cet endroit austère est chez lui.
Dans cette région industrielle, la fermeture de nombreuses usines a été un choc pour toute la population. Mais c’est dans cet univers qu’a grandi Sandy, dans un petit village situé à deux pas de la mer. Quant au virus du surf, il lui a été transmis par ses parents qui possédaient le surfshop du coin. Dans sa vie, la glisse a une place très importante et bien que l’endroit ne fasse pas rêver les surfeurs en quête d’aventures, pour lui, il n’y a pas mieux . « Tu ne peux pas comparer cet endroit de surf à un autre endroit dans le monde. C’est pour ça qu’on l’aime ». On veut bien le croire.
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