Benjamin Sanchis. La vidéo de sa vague complètement folle prise à Hossegor dimanche dernier lors du très gros swell continue d'affoler le net même plusieurs jours après. Si Sancho est désormais bien connu dans le paysage du surf, il y a peut-être encore certaines choses que vous ignorez à son sujet. Voici donc 10 choses à savoir sur le plus connu des chargeurs français.
1.Précoce
Avant de devenir le chargeur et le free surfeur que l'on connait, Benjamin Sanchis a très jeune opté pour le circuit classique de compétition en compagnie de Miky Picon, son ami de toujours. Un parcours qu'il abandonnera rapidement pour se focaliser sur les grosses vagues, avec la réussite que tout le monde lui connait.
Avant de devenir le chargeur et le free surfeur que l'on connait, Benjamin Sanchis a très jeune opté pour le circuit classique de compétition en compagnie de Miky Picon, son ami de toujours. Un parcours qu'il abandonnera rapidement pour se focaliser sur les grosses vagues, avec la réussite que tout le monde lui connait.
Le plaisir de surfer des grosses vagues. Tout simplement.
Billabong - Bielmann
2. Présence scolaire : à revoir
Inscrit en BTS à Bayonne il y a quelques années, il ne savait même pas où se trouvait son école six mois après la rentrée. Ce qui ne l'empêche pas d'être sans doute meilleur que nous en géographie. De Jaws à Nazaré en passant par Mavericks...
Sancho est toujours à l'affût du prochain swell. Ce qui lui permet de parcourir le globe toute l'année...
Bastien Bonnarme / Loïc Bonnaure
3. Jour de gloire?
Son ride historique à Nazaré en décembre 2014 l'aura propulsé en quelques heures sur de nombreux plateaux télé et stations de radio. Du jamais vu pour un surfeur français et une exposition médiatique estimée à plus de 6 millions d'euros. Un ride historique peut-être remplacé par celui de janvier dernier...
Sancho lors de son passage chez Thierry Ardisson pour l'émission Zéro Limite. Une belle exposition médiatique.
4. Citoyen du monde
Sancho aime voyager et le surfeur a vu du pays. À tel point qu'il a sorti il y a quelques années une série de vidéos intitulée Where's Sancho. Une fois au Mexique, une autre en Indo...une web-série vite devenue son passeport vidéo et reprise massivement à chaque sortie par les différents sites de surf de la planète. Une façon de faire partager ses aventures.
Benjamin Sanchis, un surfeur que l'on ne voit pourtant que très rarement de près...
WSL / Bruno Aleixo
5. L'âge du capitaine
Mais quel âge a Monsieur Sanchis ? Étonnamment, dur de trouver cette info sur la Toile... Pour ceux que ça intéresse, il est né le 7 janvier 1980. Faites le calcul...
Instagram @benjaminsanchis
6. Loyal
C'est le plus ancien rider du team Billabong Europe puisqu'il y est rentré en 1994 à l'âge de 14 ans. Mais c'est Occy qui détient le record de longévité au sein de la marque puisqu'il y est rentré en 1980. L'année de naissance de Sancho...
Seul Occy le dépasse en terme de longévité.
WSL / Sean Rowland
7. C'est pas la taille qui compte
Il refuse toujours de donner une estimation de la hauteur des vagues qu'il a surfé. "Au bout d'un moment, ça devient impossible d'estimer une vague précisément", se justifie-t-il. Aux autres de s'en charger à sa place... avec plus ou moins de précision. Sa vague de janvier dernier est estimée à 25 mètres. D'accord ou pas, au final peu importe.
2018 XXL Biggest Wave Entry : l'heure de la revanche ?
8. Dent pour dent
Il a longtemps affiché un sourire de castagneur dû à une dent pétée. La conséquence d'une violente rencontre avec le reef lors d'un take-off un peu late il y a quelques années aux Mentawai.
En souvenir de cette rencontre avec le reef !
9. Rock'N'Roll
Son ride historique à Nazaré en 2014 n'a même pas été nommé pour le Ride Of The Year des XXL Awards 2015, suscitant interrogations et polémiques. Il lui aura en revanche permis de remporter le Wipe-Out of the Year dont il n'est pas allé chercher le trophée lors de la traditionnelle remise des prix.
10. Eye of the tiger ?
Quand il ne surfe pas, Sancho s'entraîne pour garder la forme, en courant, en nageant mais aussi et surtout en boxant, dans une salle située à quelques dizaines de mètres de chez lui. Il se défend plutôt bien en boxe thaïlandaise. Un moyen d'apprendre à encaisser les coups et garder la forme.
Une salle de boxe aménagée par son sponsor Billabong.
Bastien Bonnarme / Loïc Bonnaure
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