Pionnier du foil, le légendaire Laird Hamilton n'a apparemment pas encore laissé tomber ses ailes sous-marines pour se lancer dans une autre aventure. Avec son pote Benny Ferris, il ont profité (il y a un an) d'un trip aux Fiji pour se mesurer à un Cloubreak à plus de 3 mètres.
Le résultat laisse perplexe. D'un côté on ne peut s'empêcher de remarquer la fluidité de cette glisse sans friction sur une telle face de vague, même si quelques à-coups semblent inévitables. D'un autre on se demande si les jet-skis sont vraiment nécessaires, et si de (très) bons surfeurs en thrusters n'auraient pas collé de gros carves ou cherché les sections à barrels.
C'est sans doute une question de goût, mais on aimerait bien avoir l'avis de nos lecteurs et des autres surfeurs à l'eau ce jour-là...





Mots clés : laird hamilton, cloudbreak, fidji, foil,
C'est un grand homme.
Aloha !
Je préfère le surf classique mais le tow in et le foil peuvent éviter trop d'efforts au niveau des épaules (moins de rame) à des surfers qui, même très expérimentés, prennent de l'âge.
En tout cas, je n'aurais pas échangé ma place et je suis sûr que je prenais bien plus mon pied avec ma board que sur un foil. Y a des vagues à foil et là on ne peut pas dire que c'en est une. Je ne vois pas l'intérêt d'y être allé si ce n'est pour un coup de pub.
Des bises à Laird.
Sachant qu'en tow-in + foil, tu peux prendre des vagues non surfables autrement, alors OK Laird t'es une légende mais l'ocean n'est pas qu'à toi.
En tout cas j'ai hâte de voir comment ça va se passer avec 50 jets et autant de fois sur une vague, sûrement le début de la sélection naturelle ! ;)