10 idées à la con pour surfer les plages toujours fermées

Jeep, rivières et catapultes... Tous les coups sont permis tant que la situation n'est pas débloquée !

03/05/2020 par Olivier Servaire

Hier on parlait sérieusement de la mobilisation de surfeurs, d’organismes et d’hommes  politiques associés pour retrouver l’accès à la mer. Mais en attendant de voir cette bataille porter ses fruits, nous restons dans cette situation ridicule où le surf serait autorisé (pratique sportive individuelle en plein air), mais les plages resteraient fermées après le 11 mai.

Alors à défaut de compromis intelligent (comme simplement laisser les surfeurs traverser la plage), aujourd’hui nous allons évaluer ensemble quelques solutions stupides à un problème sérieux.
CHAPITRE 1 : L’OCÉAN SANS LA PLAGE
1 – Le surf servi « on the rocks »
Pour du surf sans plage, on pense tout de suite à ces spots où on peut accéder à l’océan sans passer par le sable. Il suffit de se jeter à l’eau depuis les rochers, et on sait tous que ça marche bien, surtout quand on a pas l’habitude…
2 – Et au milieu coule une rivière
Si vous êtes plutôt adeptes des spots d’embouchure, il suffit de vous jeter dans le cours d’eau le plus proche de chez vous, et vous arriverez forcément à la mer. Attention, ne cédez pas à la tentation si vous croisez le mascaret. Celui-ci ne ferait que vous éloigner de la côte !

3 – Un point plus loin
Se jeter d’une jetée, d’une digue, voire même d’un pont, est évidemment tout aussi malin ! Comment ça c’est haut ?

4 – Prendre de la hauteur
Si votre spot n’a qu’un accès par la plage, une adaptation matérielle sera peut-être nécessaire. Pensez à détourner un téléphérique ou à installer une catapulte de plage, ça ne peut pas rater !


5 – La plage est en lave
Vous connaissez le jeu « Floor is lava » dont le but est d’éviter de toucher le sol qui deviendrait subitement brûlant ? Essayez de vous en inspirer si vous devez absolument traverser une plage fermée. Essayez de ne pas toucher le sable, par exemple en utilisant des planches pour faire une sorte de pont… Regardez la première minute de cette vidéo, ce mec y arrive bien (mais arrêtez avant la troisième qui montre un horrible cas de transmission de COVID par le sable).
CHAPITRE II – LE SURF SANS L’OCEAN

6 – Devenir un surfeur d’eau douce
Si il n’y a pas de lacs assez grands pour surfer en France, il y a toujours les rivières avec leurs vagues statiques, et surtout les mascarets, tellement plus adaptés que les plages à la distanciation physique…

7 – Vive le chlore
Finalement les piscines à vagues qu’on critiquait pour des raisons écologiques nous font de l’oeil maintenant… Mais à moins d’avoir la votre perso (coucou Kelly !), on ne vous laissera pas entrer. Ça n’empêche pas de poser dans son petit bassin bien sûr…

8 – Surfer l’aventure
Ouvrez vos horizons en vous inspirant de cette célèbre pub Jeep : « Les vagues ne sont pas la seule chose sur laquelle je surfe… Je surfe l’air. Je surfe les routes, les chemins et les sentiers. Je surfe la terre, la vase et la boue. Je droppe les flancs des montagnes et je carve dans les vallées. Je déchire des sentiers forestiers, je fais des aérials dans le sable. Je surfe l’océan. Je surfe l’aventure. Je surfe tout !« 

9 – Surfer urbain
La ville regorge de sports insoupçonnés. Les sensations de glisse peuvent manquer, mais avec un peu d’application vous deviendrez vite un véritable influenceur sur Instagram !

10 – #SurfALaMaison 

Surf de lit, de hamac, de terrasse, de planche à repasser… Toutes les délicieuses solutions qu’on a vu fleurir pendant le confinement reste évidemment d’actualité pour les surfeurs d’intérieur. Et comme le montre ici Luke Cederman, le surf alternatif est forcément bien moins dangereux que le surf dans l’océan !

    

        

                    



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