L’équipe de France en stage de prépa olympique à Tahiti

Michel Bourez, Jérémy Florès et Johanne Defay seront en stage du 10 février au 6 mars.

13/01/2020 par Marc-Antoine Guet

Le sprint final est lancé ! À 6 mois des JO de Tokyo, il est l’heure pour notre équipe de France de lancer sa préparation olympique.

Michel Bourez, Jérémy Florès et Johanne Defay, les trois surfeurs qualifiés pour Tokyo-2020, seront en stage de préparation olympique du 10 février au 6 mars à Tahiti.
Il s’agira du premier stage de l’équipe de France olympique avant les Jeux de Tokyo-2020 (24 juillet – 3 août).
Ce regroupement des trois athlètes français qui se sont qualifiés pour les JO se fera à Tahiti, où résident Michel Bourez et Jérémy Florès, à une période de l’année où les vagues des beach breaks de Papara et Papenoo devraient permettre de s’entraîner dans des conditions similaires à celles du site des JO, à Chiba, au Japon

Physique et surf au menu
Au menu du stage qui se déroulera du 10 février au 6 mars : préparation physique, séances de surf à thèmes, retour vidéo, échanges sur le matériel technique, échanges et communication sur l’organisation, la logistique et les spécificités de l’épreuve des Jeux Olympiques.
Le directeur technique national Michel Plateau, le directeur de l’équipe de France Stéphane Corbinien, le head coach de l’équipe de France Patrick Florès, l’entraîneur olympique Frédéric Robin et le préparateur physique de la Fédération Xavier Mondenx, animeront ce stage. 

Rapprochement avec la Fédération tahitienne
L’entraîneur tahitien Hira Teriinatoofa sera lui aussi de la partie pour compléter le dispositif de techniciens fédéraux. Des surfeurs locaux seront eux invités par la Fédération Française pour profiter du regroupement des techniciens de la DTN et des meilleurs surfeurs de l’élite nationale. 
Des discussions avec la collectivité et le mouvement sportif polynésien sont également prévues autour des possibilités de rapprochement et d’actions communes (formation, entraînement, etc..) entre les fédérations tahitienne et française, dans le cadre du développement de l’activité et des perspectives sur le haut niveau sportif.
Ce qu’il faut retenir de tout ça ? Que l’on risque de parler de plus en plus des JO… 
Photo à la une : WSL / Dunbar

          


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