« Le mythique Lau Lagoon: Il a été longuement étudié par Pierre Maranda, un disciple de Claude Lévi-Strauss. Les Lau nous ont beaucoup parlé de la pieuvre mystique qu'il aurait voler... pour preuve : elle était en Allemagne pendant je sais plus quelle coupe du monde ! » Ronan.
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« Les enfants passent leur temps dans l?eau. À chaque escale, ils sont les premiers à nager vers nous et à s?inviter sur le bateau... Mais ils raffolent encore plus du stand up paddle ! » Ewen.
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« Après une journée bien longue, c'est épuisant de préparer et cuire le poisson.... Mais indispensable ! Surtout pour Ewen qui n'a jamais stocké beaucoup de lard ! » Ronan.
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« La négociation du canard n?est pas toujours évidente. Il faut aller assez profond pour éviter de se faire aspirer par la vague, sans pour autant rapper la planche et nos doigts contre le récif. Nous n'avons pas beaucoup touché le récifs comparé au trip Des Iles Usions? » Ewen.
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« Pose longue, de nuit, sur la petite île de Ramos, située entre Malaita et Santa Isabel. Cette île sacrée est disputée depuis la nuit des temps par les shamans et les pêcheurs assez courageux pour faire la traversée, venant du Nord ou du Sud. » Ewen.
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« Les houles ne sont jamais énormes, mais elles viennent de l?autre bout du Pacifique, ce qui leur donne une très longue période (écart entre chaque crête de vague). Il faut donc attendre longtemps entre chaque série, mais lorsque la vague rencontre la barrière de récif, elle s?écrase en transformant sa longueur en hauteur ! » Ewen.
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« Les belles journée ne donnent pas beaucoup de vent et la progression est lente... le Stand up paddle gonflable est LA place de choix, réservé à l'Amiral : Ici c'est nono qui porte les galons !» Ronan.
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« Cette vague se trouve à plusieurs kilomètres au large, le fond passe d?une profondeur de plusieurs centaines à quelques mètres, ce qui amplifie la force et la hauteur des vagues. Chacune est différente, il faut faire le bon choix sous peine d?aller explorer les fonds marins? Surtout ce jour-là, avec des vagues de plus de 3 mètres : Aurélien en a fait les frais, plaqué au fond par une série, il s?est éclaté les tympans (avec la pression de l'eau !) et s?est bien ouvert la main et le dos. Une photo prise, vite fait, avec mon deuxième boitier, alors que je filmais le reste avec l'autre : une des cartes mémoires qui est morte... aucune vidéo. » Ronan.
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« La puissance du Pacifique se révèle sur la barrière de corail, mieux vaut regarder devant que derrière! Ewen a encore quelques mètres à surfer pour sortir à temps de la vague avant qu'elle ne se referme sur le récif. S?il se rate ou si une plus grosse vague arrive derrière, il va devoir plonger sous 4-5 vagues, risquant de se faire emporter par la mousse par-dessus la barrière, jusque dans le lagon. Ce jour-là Ewen a perdu 2 fois sa planche et a nagé 25 minutes pour revenir au pic ! encore une photo prise, vite fait, avec mon deuxième boitier, alors que je filmais le reste avec l'autre : une des cartes mémoires qui est morte... aucune vidéo. » Ronan.
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« Quand la pluie s?installe pour plusieurs jours, la vie en autarcie devient un vrai combat : pêcher, entretenir le feu... Mais quand nous n'avions plus d'eau, elle était plus que bienvenue. » Ewen.
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« Beaucoup de vagues déroulent vers la droite, ce qui oblige Aurel à surfer de dos? Cela demande beaucoup d?engagement et de talent sur ce genre de vagues creuses. » Ewen.
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« Les prises de vues en cerf-volant étaient assez techniques ! Nous avons dû quelques fois récupérer GoPro et cerf-volant au fond de l'eau... On en faisait régulièrement, mais on n?a vu les images que 3 mois après, de retour en France ! » Ronan.
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