Clément Roseyro de retour aux Canaries pour une session XL

"On s'est fait une session tout seuls dans des vagues complètement parfaites."

04/01/2022 par Rédaction Surf Session

Le jeune waterman Clément Roseyro a bien fini son année. Et c’est peu de le dire ! Il est de retour aux Canaries, terrain de jeu inépuisable pour lui. Quelles que soient les conditions, il y trouve toujours son bonheur et s’y épanouit dans chacune des disciplines qu’il y pratique. Cette fois-ci, c’est dans les grosses vagues que le natif d’Anglet s’est régalé. 
Un très bon swell était annoncé le 24 décembre sur l’ensemble des Canaries. Alors que l’attention générale était focalisée sur les fêtes de fin d’année, Clément n’a pas hésité une seconde avant de sauter dans un avion pour rejoindre l’archipel espagnol. Élevé aux vagues du Pays Basque, entre Anglet et Biarritz, Clément aime chasser les grosses vagues hivernales et il n’a pas été déçu du voyage. 
« La marée n’était pas trop en notre faveur parce que la marée basse était prévue pour 9h et il fallait mettre le jet ski à l’eau à la nuit, vers 6h du matin. C’est ce que l’on a fait, sans savoir comment allaient être les vagues. On pouvait sortir en jet seulement à partir de 12h30, ce qui nous faisait passer 6 heures dans l’eau sans savoir si les vagues allaient être bien. On s’est fait une session tout seuls dans des vagues complètement parfaites. Quand on est arrivé, les vagues étaient vraiment plus grosses, on ne voyait rien depuis le bord. On a eu le cameraman au téléphone, il nous disait qu’il ne nous voyait même pas tant on était loin et qu’il y avait des séries qui nous séparaient d’eux. » 
Comme à peu près dans toutes les disciplines aquatiques que Clément exerce, sa fluidité dans les grosses vagues est impressionnante. Une fois qu’il lâche le palonnier, le jeune angloy régale.
Que ce soit en SUP, en foil, en kite, en wing, en longboard ou dans les grosses vagues, Clément se distingue. Il semble avoir du mal à choisir et c’est loin d’être un problème lorsque comme lui, on excelle dans à peu près tout ce qui touche au vent et à l’océan. Quelles que soient les conditions, le waterman trouve son compte et cette session en tow lui a permis de finir son année en beauté.
> Par Ondine Wislez Pons
> Vidéo par Tom Deburchgrave

          


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