Soyons honnêtes dès le début, il nous a été impossible de décrocher nos yeux de l’écran pendant les 14 minutes et 6 secondes de ce nouvel édit.
Après 15 ans de carrière en tant que surfeur pro, le solide australien empreinte depuis peu une carrière beaucoup plus « lambda » en bossant comme salarié sur un remorqueur. Mais avant de raccrocher complètement les dérives, Jay Davies a décidé de vider ses placards. Placards dans lesquels se trouvaient ces clips, destinés à l’époque pour un projet RVCA, son dernier sponsor. Projet qui (jusqu’à aujourd’hui) n’avait jamais vu le jour.
« Il me restait toutes ces images parce que j’avais prévu de faire un petit film pour RVCA. Puis, ça s’est effondré. Même si nous nous sommes séparés, j’apprécie toujours beaucoup tout ce qu’ils m’ont donné ces cinq dernières années. Mais j’avais toutes ces images dans le coffre-fort et j’ai décidé de faire une suite à Native » a confié en interview l’Australien à nos confrères de chez Stab.
Un édit world class que Jay ne met pas longtemps à justifier. « Je ne filme pas vraiment quand le surf est merdique, je ne ferais perdre le temps de personne. C’est probablement pour ça que vous ne voyez pas beaucoup d’images de surf onshore et autres ».
Une claque visuelle signée Tom Jennings à la production, et Jay Davies à la réalisation. À consommer sans modération.
On souhaite bonne chance à Jay dans sa nouvelle aventure, même si on espère le revoir très vite au fond du barrel.
>> Vidéo par Tom Jennings
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