Aurélien Buffet dans la douche à questions, la Med' qui prend des allures de Gold Coast et Collin Martins dans Sail for Surf.
10/04/2020 par Rédaction Surf Session
C’est la 121e séance de rattrapage ! Le temps passe vite et s’il est difficile de suivre l’actualité (même en ce moment), on vous propose un récap’ chaque fin de semaine pour être au courant de l’essentiel !
– La douche à questions de la semaine
Nantes en Bretagne ? Un secret spot breton ? Le secret pour lutter contre le froid ? Le prochain surfeur français à se qualifier sur le CT ? Spot préféré ? Qui est Thomas Joncour pour toi ? Finistère ou Morbihan ? Le Breton Aurélien Buffet que l’on a pu voir scorer un beau Mundaka il y a quelques semaines ne se défile pas.
Ce qui est bon avec le confinement, c’est que l’on peut prendre le temps. Prendre le temps de revenir sur des moments marquants qui nous ont échappé, car dilués dans le flux d’informations journalier.
Aujourd’hui, on vous propose à travers ce portfolio de Nicolas Mallaret de plonger dans les eaux bleu turquoise de la Méditerranée. Un portfolio pour vous échapper et vous évader sans toutefois quitter votre canapé.
Car la Méditerranée c’est plus de 1 600 km de côtes si l’on compte la Corse. 1 600 km le long desquels il n’est pas rare au détour d’un sentier, de trouver son petit coin de paradis.
Son portrait et son expérience sont à retrouver dans le dernier Surf Session Magazine, avec les images et les mots de Benjamin Bireau qui a été à sa rencontre.
Collin Martins, free-surfeur dans l’âme, est parti de France à l’âge de 20 ans pour l’Australie avec un diplôme de chef cuisinier sous le bras. Au cours d’un surf trip, il découvre les vagues indonésiennes. Plus rien ne sera jamais comme avant. Passionné de surf comme peu de gens le sont, il décide de partir à la recherche de la vague parfaite.
Manuel Lezcano vit devant l’une des plus importantes barrières de corail d’Europe, « El Quemao » aux Canaries. Là où la plupart des gens voient un barrel épais et creux qui se brise sur les roches volcaniques acérées de Lanzarote, Manuel y a connu certains des meilleurs moments de sa vie.
Du tow–in à Imsouane ?! Oui, vous avez bien lu. Si Imsouane rime souvent avec une longue droite parfaite pour débutants qui déroule dans une baie immense, ce n’est pas que ça. Le chargeur JérômeSahyoun connaît la région par coeur et n’est pas du genre à observer de la plage. C’est donc sans hésitation que le free surfeur marocain s’est lancé le 6 avril 2019 sur ce slab puissant et creux.
La première session de l'année à Jaws, Mason Ho qui remporte le Da Hui Backdoor Shootout, l'échange tendu entre Kelly et les autorités australiennes et bien plus encore.
Ce sont les politiques menées ces dernières décennies et actuellement, qui mettent en danger les caissières et toubibs -et bien d’autres- ( coupes drastiques du budget des hôpitaux publics, suppression de centaines de lits etc).
Bien plus que « les gens qui font n’importe quoi ».
Ne tombons pas dans la culpabilisation, ce levier qu’utilise le gouvernement pour tenter de masquer ces erreurs mortelles, détourner la colère.
Restons solidaires.
Salut, merci c’est important de témoigner en donnant un point de vue terrain, car pour beaucoup le virus apparaît comme quelque chose de vraiment lointain et ils vivent le confinement comme un totalitarisme. Pourvu qu’ils aient la chance de ne jamais voir ça que de loin. Bon courage !
Bonjour
52 ans, surfeur depuis 35 ans, dans les Landes nord, travaillant dans le transport de personnes et en permanence 6 jours sur 7 en ce moment. Je n’ai pas Facebook ou autre et j’utilise ce commentaire pour répondre à de nombreux commentaires de surfeurs pro ou amateurs s’interrogeant sur l’utilité du confinement et l’intérêt de fermer les plages. Quant au confinement, c’est une décision prise dans tous les pays du monde, la seule solution trouvée pour limiter la casse et l’engorgement du système de santé. Efficace ? Je n’en sais rien, mais pas d’autre. Ouvrir les plages, c’est attirer dans la région des milliers de personnes, avec un nombre de lits d’hospitalisation inférieur à cent… Interdire le surf fait partie du système, et s’y ajoute le fait que c’est une chance de moins de devoir mobiliser des moyens précieux pour aller sortir un type de l’eau en cas de problème. Perso , si besoin, il me faudra transporter si nécessaire des malades alors que nous n’avons pas les équipements nécessaires. Chaque fois que je vois des gens faire n’importe quoi, j’ai envie de leur faire signer une attestation comme quoi ils acceptent dès à présent, eux et leurs proches malades, de décéder à la maison pour ne pas mettre en danger des gens qui bossent pour eux, de la caissière de supermarché au toubib d’hôpital.
Ce sont les politiques menées ces dernières décennies et actuellement, qui mettent en danger les caissières et toubibs -et bien d’autres- ( coupes drastiques du budget des hôpitaux publics, suppression de centaines de lits etc).
Bien plus que « les gens qui font n’importe quoi ».
Ne tombons pas dans la culpabilisation, ce levier qu’utilise le gouvernement pour tenter de masquer ces erreurs mortelles, détourner la colère.
Restons solidaires.
Salut, merci c’est important de témoigner en donnant un point de vue terrain, car pour beaucoup le virus apparaît comme quelque chose de vraiment lointain et ils vivent le confinement comme un totalitarisme. Pourvu qu’ils aient la chance de ne jamais voir ça que de loin. Bon courage !
Bonjour
52 ans, surfeur depuis 35 ans, dans les Landes nord, travaillant dans le transport de personnes et en permanence 6 jours sur 7 en ce moment. Je n’ai pas Facebook ou autre et j’utilise ce commentaire pour répondre à de nombreux commentaires de surfeurs pro ou amateurs s’interrogeant sur l’utilité du confinement et l’intérêt de fermer les plages. Quant au confinement, c’est une décision prise dans tous les pays du monde, la seule solution trouvée pour limiter la casse et l’engorgement du système de santé. Efficace ? Je n’en sais rien, mais pas d’autre. Ouvrir les plages, c’est attirer dans la région des milliers de personnes, avec un nombre de lits d’hospitalisation inférieur à cent… Interdire le surf fait partie du système, et s’y ajoute le fait que c’est une chance de moins de devoir mobiliser des moyens précieux pour aller sortir un type de l’eau en cas de problème. Perso , si besoin, il me faudra transporter si nécessaire des malades alors que nous n’avons pas les équipements nécessaires. Chaque fois que je vois des gens faire n’importe quoi, j’ai envie de leur faire signer une attestation comme quoi ils acceptent dès à présent, eux et leurs proches malades, de décéder à la maison pour ne pas mettre en danger des gens qui bossent pour eux, de la caissière de supermarché au toubib d’hôpital.