C’est le genre d’archive qui fait plaisir !
Petit flashback 11 ans en arrière. On est à l’automne 2009. Quiksilver, Vincent Kardasik et Nicolas Dazet sont sur le point de sortir le premier film signature de Joan Duru, alors membre du team Quik. Film dans lequel apparaissent certains de ses très bons amis comme Marc Lacomare, Alain Riou, Fred Robin, Benjamin Sanchis, Naum Ildefonse, Charly Martin et quelques autres.
Malheureusement, si le film fera bien une première en marge du Quik Pro France, il ne verra jamais le jour. C’est ce qu’explique son réalisateur Nicolas Dazet, qui sera plus tard responsable marketing monde de Quiksilver.
« Nous avons fièrement fait une première pendant le Quik Pro France avec une foule immense et tous les garçons, mais entre cette date et celle de la sortie, Joan et quelques autres gars ont quitté le team Quik, donc le film n’est jamais sorti… jusqu’à maintenant ! »
Pour notre plus grand bonheur, Nicolas Dazet a décidé de faire revivre cette semaine ces archives qui méritaient bien plus que la seule et unique diffusion qu’elles ont eu jusqu’à présent. L’occasion de voir Joan Duru et toute sa bande comme rarement jusqu’à présent. Car dans Watchaouch, le crew de Landais ne s’enquille pas que des barrels. Des tubes tahitiens aux fêtes de Bayonne, Watchaouch nous fait revivre les exploits sportifs (et extra-sportifs) de cette bande de potes au talent fou.
Si l’intro donne le ton, la bande-son, elle, permet de nous garder à fond. Pas étonnant quand on connaît la passion que Nicolas Dazet éprouve pour la musique et ses connexions avec certains des plus grands artistes de la planète. « Daz » c’était d’ailleurs confié à ce sujet (notamment) au micro de nos confrères d’Impact Zone Podcast.
A une période où beaucoup de films de surf se ressemblent, Watchaouch sonne comme une bouffée d’oxygène. Oui ça surfe fort. Non les images n’ont pas pris une ride. Un film bien évidemment à consommer sans modération.
>> Vidéo par Nicolas Dazet et Vincent Kardasik
>> Retrouvez aussi le podcast Impact Zone consacré à Nicolas Dazet
