Kelia Moniz : la reine du longboard fête ses 27 ans

Retour sur son parcours de princesse d'Hawaii à championne du monde.

06/02/2020 par Rédaction Surf Session

Par Jeanne Dauthy.

Kelia Moniz, crème de la crème du longboard féminin, soufflait hier ses 27 bougies. Pour l’occasion, nous vous proposons de revenir sur le parcours de celle qui danse sur les vagues comme personne. La « dancing queen » à l’hawaïenne. 
La surf culture dans le biberon 
Tel père, telle fille. Si Kelia a le surf dans le sang, c’est parce qu’elle n’est autre que la fille de Tony Moniz. Pro surfeur pendant 30 ans et big wave rider de renom, aujourd’hui il fait partie des prestigieux invités de l’Eddie Aikau.
Avec un papa comme ça, difficile de résister à l’appel de l’océan. Elle passera d’ailleurs son enfance à jouer dans les vagues avec ses quatre frères. Waikiki comme cour de récré, pas mal non ?
Une bonne école qui a projeté toute la fratrie Moniz dans l’élite du surf mondiale. Et Kelia en haut des podiums. 
De princesse d’Hawaï à championne du monde 
Si la surfeuse est aujourd’hui connue pour ses vidéos free surf en longboard et un lifestyle qui nous fait saliver sur Instagram, elle est avant tout une championne. Et plutôt deux fois qu’une.
En 2011 et  2012 elle rafle les titres de championne du monde de longboard de l’ASP. Aujourd’hui encore l’Hawaïenne surfe sur le tour avec une récente 9eme place au Longboard Classic New York

Talent brut 
Longboard ou shortboard, la planche qui se trouve sous les pieds de Kelia n’a pas beaucoup d’importance.
Celle que l’on connaît aujourd’hui pour ses noses engagés et son palmarès en longboard avait d’ailleurs commencé sa carrière en shortboard ! C’est même en shortboard qu’elle fait ses premiers pas avec Roxy à l’âge de 13 ans.
Le début d’une longue histoire d’amour avec la marque qui sponsorise encore la jeune femme, 14 ans plus tard. Bien que Kelia fasse partie de ces riders polyvalents, on adore la regarder danser jusqu’au nose de sa planche.
Comme sur cette vidéo à Noosa où la souriante Hawaïenne multiplie les hang-ten interminables. Hypnotique. 
>> Photo à la une : WSL / Jack Barripp

      


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