Collaborateur régulier de Surf Session, Yannick le Toquin compte plus de 20 années passées derrière l'objectif, et figure aujourd'hui parmi les plus célèbres photographes de surf français. Alors qu'une exposition lui est consacrée depuis quelques jours à Anglet, le girondin nous présente une (autre) partie de ses photos et nous en dit un peu plus sur sa manière de travailler.A choisir : numérique ou argentique ?J'ai longtemps fais du noir et blanc, en traitant tout le processus, du développement du négatif au tirage final. C'était passionnant et surtout j'avais le résultat que je voulais. Et puis le numérique est arrivé et il a fallu apprendre et s'adapter à cette nouvelle technologie. Aujourd'hui je travaille essentiellement en numérique comme la plupart des photographes. Je cherche toujours néanmoins à travailler sur des rendus particuliers et/ou avec des appareils photos originaux. J'aime bien le côté artisanal de l'approche argentique. Et depuis l'an dernier je travaille sur un vieux procédé photo, en produisant des tirages cyanotypes (voir photo dans le portfolio en bas de page). Chaque tirage produit est unique !Qu'est-ce qui fait pour toi une bonne photo de surf ?Je pense qu'il n'y a pas “Une” bonne photo de surf, il y en a plein : action, watershot, line-up, lifestyle, toutes ces situations peuvent produire des photos qui font rêver ou capter l'attention. Evidemment, une bonne photo de surf, c'est une image qui “scotche” ! Certaines photos sont incontournables et font tout de suite l'unanimité. Mais cela peut être aussi une photo qui fait réfléchir, ou qui apporte de l'émotion. Quels sont les photographes qui t'inspirent le plus aujourd'hui ?Il y a beaucoup de photographes qui m'inspirent, à la fois dans le surf et en dehors du surf aussi. Les jeunes photographes américains comme Morgan Maassen ou encore Chris Burkard excellent dans tous les types de photos que l'on peut produire autour du surf. En France j'aime bien la sensibilité de Cesar Ancelle Hansen, Alex Laurel qui sait tout faire, ou encore Greg Rabejac, un “master” des watershots. Et Cazenave, Rebeix, Chauché, McKenna qui m'ont vraiment inspiré et fait rêver avec leurs photos.As-tu une photo préférée parmi toutes les tiennes ?Difficile de choisir une photo en particulier parmi plusieurs milliers ! La prochaine, les prochaines ... Plus sérieusement, plus qu'une seule photo, je dirai que j'essaye de travailler maintenant sur des séries ou sur des thèmes. Je suis plus intéressé d' essayer de construire un ensemble de photos. Sinon cette photo de Tom Curren prise en 2001 (voir portfolio) à Biarritz est dans mon Panthéon personnel.Quelle est ta saison préférée pour shooter chez toi en Gironde ?L'automne reste ma saison préféré pour le surf et la photo. Les vagues sont belles avec un vent off-shore qui tient toute la journée, et la lumière s'adoucit, offrant un éclairage quasi optimal tout au long de la journée. Les plages se sont un peu vidées bien que les spots soient encore bien remplis par des locaux morts de faim. Le top est d'aller surfer sur des plages sauvages en traversant la foret au petit matin, l'appareil photo en bandoulière au cas où si les belles vagues sont au bout du chemin derrière la dune.Ton prochain voyage ?Pas de voyage prévu pour le moment. Ces dernier temps, je me suis pas mal focalisé sur la côte Aquitaine et plus largement sur des destinations de proximité en France ou Europe. Il faut préciser que l'on a un potentiel énorme en Europe et qu'il y a matière à travailler sans se rendre à l'autre bout du monde, bien que l'exotisme et le voyage soient toujours en tête pour un photographe de surf.Un mot sur ton expo qui se tient actuellement au shop Oxbow d'Anglet ?On s'est rencontrés l'hiver dernier avec les gens de chez Oxobw car ils souhaitaient mettre en place une petite collaboration artistique sur la base de plusieurs expo photos dans leurs shops. Je leur ai présenté mes derniers travaux concernant mes tirages Cyanotypes, qu'ils ont appréciées et la “collab” s'est mise en place à ce moment-là, à la fois sur un plan artistique avec cette expo à Anglet (jusqu'au 23 juin et Guéthary tout l'été), et la création d'un tee-shirt en série limitée avec une des mes photos. A noter que j'exposerai également mes photos comme tous les ans durant l'été dans ma petite galerie de La Vigie à Biscarrosse Plage.Peux-tu nous lister le matériel avec lequel tu travailles ?Pour les boitiers : Nikon D600 et D300s, Fuji X100, Canon G12, mais aussi plusieurs boitiers argentiques : Nikon fe2, Lubitel 6x6, Lomo.Objectifs Nikkor 24-85 mm, 24 et 50 mm fixe, 70-300 mm, 300 mm fixe et multiplicateur 1.4Flash Nikon, etc...Expo Océans de Yannick Le Toquin, au Oxbow surf shop d'Anglet jusqu'au 23 juin, puis à Guéthary jusqu'à fin août.Suivez l'actu du photographe sur son site web et son blog.Retrouvez le travail de Yannick Le Toquin et des meilleurs photographes de surf français dans le livre “Photographes de surf : Chasseurs de vagues” et “Photographes de surf : Magie de la France”
26/05/2014
Le swell était attendu depuis quelques jours, et n'a pas déçu hier. En tout cas pas dans les Landes, où les habitués (Max Huscenot, Duvi, Romain Laulhé, Justine Dupont...) étaient à l'eau pour scorer. Aperçu d'une journée de printemps entre Hossegor et Capbreton, par Guillaume Arrieta (avec en prime une photo de David Leboulch prise aujourd'hui en début d'aprem sur Anglet. Si c'est pas de la réactivité ça...).Découvrez des séquences animées des photos ci-dessous sur notre compte Instagram (@surfsessionmag)HOSSEGOR :CAPBRETON :
21/04/2014
Des semaines - des mois même - que tout le monde attendait ça. Que les tempêtes cessent, que le soleil réapparaisse et qu'on puisse à nouveau mettre le nez dehors et surfer de bonnes vagues. Quelqu'un a du nous entendre, étant donné ce que nous a réservé la fin de semaine dernière : températures quasi-estivales (record à Paris depuis 1934 avec 21,6°C) et conditions de surf parfaites pour aller avec. L'occasion de voir que, après les violents affronts de l'océan sur le littoral atlantique, certains bancs de sable semblent particulièrement en place. La preuve en photos et vidéos :Anglet, samedi 8 mars :© Pablo Ordas> Plus de photos de la session du samedi 8 mars à Anglet sur le site de Pablo OrdasLandes :Hossegor, samedi matin ©David Berthet/www.ripitup.frArthur Bourbon ©SpoeJoan Duru :Arthur Bourbon, Duvi et Indar Unanue :[vimeo width="740" height="550"]http://vimeo.com/88467867[/vimeo]Indar Unanue :[vimeo width="740" height="550"]http://vimeo.com/88588475[/vimeo]
10/03/2014
La tempête Hercule a disparu, mais la tornade médiatique post-Belharra, elle, bat son plein. Sans surprise, les photos et les vidéos (la nôtre est là) de la session d'hier inondent le web. Sans forcément prendre la pleine mesure de ce qui s'est passé sur le spot.Déjà séduit par les vagues européennes l'an dernier lors de sa session à la rame à Nazaré, Shane Dorian était cette fois venu découvrir la vague française, dans l'optique de la surfer à la rame. Et c'est exactement ce qu'il a fait. “Veni, Vidi, Vici” pourrait dire l'Hawaïen. Par sa présence au line-up, celui que beaucoup considèrent comme le meilleur surfeur de grosses vagues au monde a rendu le spot légitime aux yeux de nombreux spécialistes. Et il n'était pas le seul : Jamie Mitchell, et Grant “Twiggy” Baker, avaient eux aussi fait le déplacement - accompagnés d'une équipe TV en tournage pour ESPN - pour affronter la vague... eux aussi à la rame. Sans oublier, évidemment, les habitués du spot, Peyo Lizarazu, Stéphane Iralour et Sancho en tête.Après la tentative de Nathan Fletcher et des Français l'an dernier, la session d'hier a permis de prouver que Belharra était surfable à la rame. Pilou Ducalme, qui avait déjà tenté l'exploit il y a 4 ans, en a pleuré de joie sur le bateau, avant de décider de se jeter à l'eau à son tour, et de revenir quelques minutes plus tard avec son gun en deux morceaux. Un set surprise plus gros que les précédents a balayé les surfeurs présents au line-up, et brisé plusieurs planches, dont le gun de Pilou et les SUP de Peyo et Steph Iralour. Ambiance.Les deux habitués du spot ont troqué le palonnier contre la pagaie pour rejoindre les rameurs, après avoir pris quelques jolies vagues en tow en début de session.Le drop de la journée est sans conteste celui du waterman australien Jamie Mitchell. Mais... drop, ou plutôt wipe-out ? L'Hawaïen est parti sur un monstre - estimé à 60 pieds par Shane Dorian et considérée comme la plus grosse vague jamais prise à la rame par Sancho - avant de heurter un clapot et de bouffer salement. Équipé lui aussi d'une veste gonflable, il confiera quelques minutes après, de retour sur le bateau, ne pas avoir réussi à atteindre la goupille de suite, tellement brassé par la vague. Sa vague est en lice pour les Billabong XXL.Avec un swell en baisse depuis la soirée précédente, les séries se sont espacées de plus en plus aux alentours de 12h, faisant retomber l'excitation au line-up. Certains équipages sont malgré tout restés quelques heures à l'eau dans l'après-midi, permettant notamment à Twiggy et Jamie Mitchell de prendre quelques autres vagues à la rame mais aussi en tow-in dans des conditions “presque semblables à celles de la matinée”, d'après le photographe Greg Rabejac présent sur place. Une nouvelle page de l'histoire de Belharra a été écrite ce mardi 7 janvier 2014. Mais le livre reste ouvert.Retrouvez LE DÉROULÉ DE LA JOURNÉE EN PHOTOS (crédit : Nicolas “Daz” Dazet, Pierre-Bernard “PBG” Gascogne et Yannick le Toquin - sauf mentions) :what is an expository essay
08/01/2014
Avec 4 couvertures de Surf Session au compteur rien pour 2013, Ben Thouard compte parmi les principaux collaborateurs du magazine. Le photographe, originaire de Toulon, a choisi il y a quelques années de s'établir à Tahiti, et semble ne pas regretter son choix...La preuve avec ces 101 photos prises par l'intéressé en 2013. Un portfolio vidéo en musique qui mérite largement d'être vu en plein écran.> A lire : Interview et portfolio de Ben Thouardbuy and download adobe cs3
04/01/2014
Publié le 16 mai 2013Les vidéos et les photos des deux jours de folie à Teahupoo commencent à inonder le web, mais les shots les plus incroyables restent pour le moment au chaud dans les ordinateurs des photographes et des rédactions des mags de surf du monde entier.Premier aperçu des actions immortalisées par les photographes Tim McKenna et Ben Thouard, en attendant de retrouver la sélection premium dans le Surf Session de juin...buying cialis online zp8497586rq
31/12/2013
Comme prévu par les spécialistes du spot, la solide houle qui a touché nos côtes cette nuit a permis à Belharra de se réveiller pendant quelques heures ce matin. Malgré un fort vent de Sud, la plupart des “Belharra lovers” étaient au line-up dès les premières lueurs du jour pour dompter des vagues estimées à plus de 10m, et ce jusqu'à 10h environ, heure à laquelle la marée haute et le vent ont mis fin à l'action.Parmi eux, Peyo Lizarazu/Alain Riou, Stéphane Iralour/Eric Rougé, Sancho, Laurent “Pilule” Dulon, mais aussi Justine Dupont, Alain Riou, Mathieu Crépel...Pour Stéphane Iralour, “c'était les plus grosses vagues de ces 2,3 dernières années, mais toutefois plus petit qu'en 2009 (voir photos). La bouée est quand même montée à presque 8 mètres cette nuit, ce qui est rarissime. Mais le fort vent de Sud a amorti la houle, et les vagues n'étaient pas aussi grosses qu'espéré. J'ai pu prendre 5 ou 6 vagues, dont 2 sympas. Pas mal pour un début de saison. Si c'est comme ça tout l'hiver, ça me va (rires)”“Aucune pression, juste de l'envie” - Justine DupontAprès avoir pris quelques vagues en tow-in (dont une grosse boîte sur la première, due au clapot), Sancho a tenté de partir à la rame avec un gun Stretch quattro de 12 pieds, sans succès. Aujourd'hui, il fallait la puissance du jet pour pouvoir partir.Peyo Lizarazu a lui aussi passé pas mal de temps sous l'eau après une chute en haut de vague, mais compte à son actif certains des plus beaux rides de la session.La surfeuse girondine Justine Dupont, qui s'était déjà faite remarquer l'hiver dernier en surfant des vagues solides à Aileens (Irlande), a remis ça ce matin à Belharra, en n'hésitant pas à se faire tracter sur des sets solides malgré un problème de foot strap pas à sa taille : “C'était ma première fois à Belharra, j'étais bien motivée. Aucune pression, juste de l'envie. Lors de la dernière session sur le spot en décembre dernier, j'étais à Hawaii mais j'avais hésité à prendre un billet d'avion pour rentrer. Mon objectif, c'était de surfer Belharra, à la rame ou non. Dans l'eau, il y avait pas mal de clapot. Après la chute de Sancho, j'ai eu peur de ne pas avoir les jambes pour tenir, mais ça a été. Je suis bien contente pour un début, ça me conforte dans l'envie de continuer à scorer.”La vidéo, par Surf Session TV :Premières photos de la session, par Sylvain Cazenave :
28/10/2013
%%anc%% if (1==1) {document.getElementById("link140").style.display="none";}p>A leur arrivée sur Hossegor ces derniers jours pour le Quik Pro France, les pros du WT avaient tous en tête les images des solides conditions de l'an dernier. Mais ils savaient aussi qu'ils n'y auraient pas droit cette fois-ci. Il n'empêche, les pics d'Hossegor et ses environs ont donné le meilleur d'eux-mêmes pour les accueillir, offrant un terrain de jeu idéal à la hauteur de leurs attentes...Aperçu de ces sessions free surf, entre La Gravière et le Penon, par Laurent Nevarez. zp8497586rq
26/09/2013
Près de deux semaines après le premier swell XXL de la saison sur Tahiti, Teahupoo vient de remettre ça samedi 1er et dimanche 2 juin. Annoncé comme plus solide que le précédent, le swell qui a touché le bout de l'île ce week-end a distillé des vagues de 12 à 15 pieds sur le spot... Des conditions moins solides qu'il y a deux semaines d'après les observateurs, mais l'orientation davantage ouest du swell offrait un rendu plus impressionnant pour les chanceux qui se trouvaient dans le chenal.Si moins de riders ont fait le déplacement qu'il y a deux semaines, quelques grands noms étaient au line-up : Jamie O'Brien, Garrett McNamara, Kalani Chapman, Mark Healey, Anthony Walsh, Mark Mattews, Danny Fuller, Keali Mamala, Kiron Jabour & Co, sans oublier les locaux dont Tikanui Smith, Raimana Van Bastolaer, Manoa Drollet, ces deux derniers ayant chopé les bombes de la deuxième journée.Le jeune Marocain Othmane Choufani, déjà présent à Nazaré lors de la session historique de janvier, était également de la partie avec son mentor et coéquipier Jérôme Sahyoun. Retrouvez son récit de son baptême du feu à Teahupoo.Premières photos, par Ben Thouard : > Retrouvez le portfolio de la session de mai sur Teahupoo : Code Red acte II.
03/06/2013
Ah le mois de mars... Ses jours qui rallongent, ses arbres qui bourgeonnent... et sa météo complètement imprévisible. Si la semaine dernière avait dans certains coins un avant-goût de printemps, ces derniers jours nous ont rappelé - flocons à l'appui - qu'il ne fallait pas crier victoire trop tôt et qu'on était encore bel et bien en hiver.Mais l'hiver, c'est bien connu, est l'ami des surfeurs. Du moins des plus vigoureux. Aperçu d'une semaine de surf sur la côte atlantique, de la Bretagne au Pays Basque...BRETAGNELOIRE-ATLANTIQUE (44) :VENDÉE (85) :CHARENTE-MARITIME (17) :LANDES (40) :PAYS BASQUE (64) :
14/03/2013
L'énorme swell qui a permis de lancer le Arnette Punta Galea Challenge dans des vagues de plus de 7 mètres lundi dans le Pays Basque Espagnol n'a pas épargné le littoral français. Avec une dépression de 930 hectopascals et des bouées annonçant entre 6 à 8 m de houle, ce sont des vagues massives qui ont frappé les spots basques. Les digues de la Baie de St Jean de Luz ont reçu les trains de houle de plein fouet offrant un spectacle impressionnant. Même la droite de Sainte Barbe, pourtant protégée, avait rarement été vue si grosse.Photos : Martin Fichez / Nautimages - www.facebook.com/Nautimages
31/01/2013
'Hell Team'. Voilà un nom qui devrait résonner dans les oreilles des plus anciens d'entre nous, puisqu'il s'agit ni plus ni moins du nom que portait la fameuse team Rip Curl emmenée par Tom Curren et Damien Hardmann à la fin des années 80. Du 4 au 11 novembre dernier, Rip Curl a eu la bonne idée de donner une seconde vie à ce nom, en réunissant sa team de jeunes talents prometteurs composée notamment des Français Elliot Ivarra et Titouan Boyer, dans une surf camp un peu particulier. Logés dans la Rip Curl House juste en face de Off the Wall sur le North Shore, les kids auront eu de superbes conditions pour exprimer pleinement leurs compétences, dans des vagues hawaiiennes que certains découvraient.Accompagnés et coachés par le triple Champion du Monde Tom Curren, les Hawaiiens Pancho Sullivan, Kekoa Bocalso et le team manager Rip Curl Europe Jean-Seb Estienne, les deux Français auront fait très forte impression aux côtés des jeunes Australiens Jacob Willcox, Luke Hynd et Jackson Baker, mais aussi de Herbert Moreno (BRA), Pat Curren et Taylor Clarke (USA), Elliot Paerata-Reid (NZ) et Hiroto Arai (JPN).Elliot notamment, aura fait preuve d'une certaine aisance et d'un engagement dans des conditions solides qui n'auront pas manqué d'impressionner les coachs et photographes présents."C'était un super trip et je m'en souviendrai toujours car nous avons eu de superbes vagues," racontait Elliot. "L'ambiance à la maison était top, les locaux nous ont très bien accueillis et nous ont donné de très bons conseils. Les autres riders du team étaient très forts et du coup cela a créé une sorte d'émulation à l'eau, et je pense que cela m'a aidé à tirer mon surf vers le haut.""C'est un grand privilège d'avoir des conseils de la part de "Hot Locals" comme Pancho et Kahea Hart," ajoutait Titouan. "Car ce sont des surfeurs très respectés sur l'ile. Cela m'a fait aussi beaucoup plaisir car ils ont pu nous donner quelques secrets sur leurs spots. Tom m'a aussi beaucoup conseillé sur le placement à l'eau, c'était super."De toute évidence, le 'Hell Team' surf camp aura été une belle réussite dont les kids présents se souviendront longtemps, et qui leur aura fait faire un bond en avant indéniable. Une expérience à réitérer au plus vite.Retour en photos sur une semaine avec la 'Hell Team' :
27/11/2012
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