Un bon casting pour tester le nouveau modèle de Channel Islands

Le trio Gudauskas, Michael February, Imaikalani DeVault et Reef Haezlewood se régalent avec le G Skate.

29/03/2023 par Marc-Antoine Guet

L’histoire du trip 

De nos jours, les édits ont tendance à accorder une grande place à l’image, le « slow motion », les paysages, l’univers aquatique, la culture du pays….et c’est très bien   ! Mais on aime aussi l’action et le trash, que les surfeurs enchainent les vagues, les tubes, les wipeout et se retrouvent avec des boards pétées, un peu à la Mason Ho.  Une chose que le géant de l’industrie des planches de surf qu’est Channel Islands a bien compris. La marque vient briser les codes du 21e siècle. Et pour couronner le tout, une équipe de choc est venue sur le North Shore pour tester leur nouveau modèle de board «G Skate»
Les frères GudauskasMichael February, Imaikalani DeVault et Reef Haezlewood étaient de la partie. Qu’ils soient free surfeurs ou compétiteurs tous ont alterné entre un surf radical et puissant mais aussi de longues courbes plus douces. Tout ceci donne un mélange homogène et laisse place à un édit plus que satisfaisant pour les yeux. 

Détails techniques 

Le « G Skate Demo Tapes » est le fruit d’un travail de 1 mois sur le North Shore. Les trois frères Gudauskas ont testé ce nouveau modèle et l’ont baptisé. Il est le résultat d’une collaboration avec Britt Merrick. Test après test, le modèle évoluait au fil du retour des pros, jusqu’au modèle « parfait ». 
Ils y sont parvenus en raccourcissant la ligne de rail des shortboards classiques en ajoutant des courbes et des contours à certains endroits, permettant à la planche de rester au-dessus de l’eau lors des turns et de floaters. 

Les témoignages des surfeurs
Dane Gudauskas :  » La G Skate a été inspirée à l’origine par les lignes de skateboard des années 1970 et par l’approche surf skate de gars comme Tony Alva et Jay Adams. Il y avait quelque chose d’original dans les planches qu’ils utilisaient qui semblait s’adapter à la surface des courbes qu’ils utilisaient. C’était un mélange idéal entre vitesse et liberté. Le 2 plus 1 (montage de dérive)  s’est avéré être un atout encore plus important dans les vagues marginales où il était facile de générer de la vitesse à partir de la planche, ce qui nous a permis de survoler les zones plates et d’accélérer dans les virages et dans les parties les plus creuses de la vague ».
Tanner Gudauskas : « Je pense qu’avec Pat, Dane et moi-même, nous surfons tous tellement différemment que la planche devait toujours avoir un design facilement adaptable. Et, c’est à peu près ce que nous avons constaté à Hawaï quand les autres gars de CI (Channel Island) ont essayé la planche. Il me semble donc que la planche s’est avérée être un design très adaptable à un large groupe de personnes ayant des styles et des approches différentes.  » 
 
Pat Gudauskas :  « À nos yeux, le but du film était d’intégrer tout le monde dans la culture de notre famille, à savoir : surfer dur, rester créatif et profiter au maximum du temps passé dans l’eau. »

>> Montage par Alex Kilauano 
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>> Article par Vincent Schwendt

      


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