Billy Kemper se casse le bassin, Johanne Defay s'essaye à Teahupoo et les frères Delpero dans le dernier Impact Zone...
21/02/2020 par Rédaction Surf Session
C’est la 115e séance de rattrapage ! Le temps passe vite et s’il est difficile de suivre l’actualité, on vous propose un récap’ chaque fin de semaine pour être au courant de l’essentiel !
Le chargeur était au Maroc aux côtés de Luke Davis, Koa Smith et du local Jérôme Sahyoun. La fine équipe chassait les slabs nord-africains lorsque l’accident a eu lieu.
Kemper a subi un violent wipeout après s’être lancé sur un slab mutant de la côte nord-africaine. Dans la chute, il a fortement été heurté au bassin et à la hanche.
Pas un, mais deux invités de marque cette fois-ci au micro d’Impact Zone : Antoine et EdouardDelpero.
Deux acteurs majeurs du surf français, aussi doués sur un 9 pieds que sur un shortboard ou avec une pagaie à la main. Deux invités aux propos passionnés et engagés sur les enjeux et l’avenir de leur(s) discipline(s), le business ou encore la technique.
Johanne Defay est actuellement en stage de préparation olympique à Tahiti. Avec l’équipe de France, elle a pu profiter d’une belle houle pour s’essayer à Teahupoo, la vague légendaire.
Dans ces images de vendredi dernier, on retrouve la Française, en compagnie de la fine fleur du surf français : Jérémy Florès et Michel Bourez, ainsi que les locaux Hira Teriinatoofa, Kauli et Aelan Vaast. L’Américaine Caroline Marks était elle-aussi au line-up.
C’était le week-end dernier. Alors que tous les yeux étaient rivés du côté de Belharra et du Pays Basque, les fortes houles du week-end sont venues réveiller de nombreux spots le long de la façade atlantique. L’île de Ré en tête. De belles conditions que n’a pas manqué de photographier Gaël Contal, 25 ans.
Arnaud Greciet, 35 ans, a emmené son père Bertrand Greciet, 65 ans alias « Le Bear« , à la découverte d’Imsouane. Arnaud avait découvert le spot trois ans plus tôt, et est « tombé direct amoureux de la baie et de sa vague« . En 2019, c’est donc en duo qu’ils se rendent au Maroc.
»Les locaux ont été très accueillants et respectueux avec Le Bear car ils respectent beaucoup les anciens ».
Damien Castera : "Je vois ça un peu comme une initiative qui va dans le bon sens et peut-être une opportunité de rectifier un peu le tir des vagues artificielles".
